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Voici la plupart des livres de Philippe Beheydt qui ont été publiés mais certaines pièces courtes ont été publiées dans des recueils avec d'autres auteurs, comme Un cœur cassé aux Éditions de L'Amandier, Un vendredi après-midi comme les autres aux Édition de la Gare / Bocal agité, Bus 103, Richard, Salle d'attente aux Éditions Alna.


théâtre / nouvelles

Couverture Le Quai . Editions Théâtre en PcheCouverture Le Quai . Editions Théâtre en Pche

Sur le quai d'une gare, trois personnages, Jeff, Henri et Cloé attendent un train... Le temps de l'attente est aussi celui de la mise à nu : chacun se trouve dévoré par ses souvenirs, ses secrets et ses peurs. Le silence est insoutenable et l'innocence, thème central de la pièce s'impose tel un révélateur : "C'est un soleil au milieu de la pourriture"

"L'absence de scène ou d'acte permet à Philippe Beheydt d'instaurer une montée en force vers le drame final, progressive et implacable. "Le Quai", texte poétique où se mêlent tendresse et cruauté, se prête aussi bien au spectacle de la scène qu'au plaisir de la lecture".

LE QUAI

Théâtre

La boîte en coquillages

Huis clos familial où quatre frères et sœurs se sont réunis dans le salon de leur maison natale. Ils doivent prendre la décision d'euthanasier un père qui souffre mais qui, malgré sa position d'agonisant, les divise et les détruit encore. Il repose à l'étage supérieur. La fratrie se revoit après plusieurs années. Doivent-ils pardonner la terrible tyrannie et punition qui a été infligée à l'un d'eux ? Ils vont refaire les chemins de l'enfance. N'étaient-ils pas tous responsables ? Quel est le drame atroce, pour lequel, un père et une mère se sont ainsi acharnés sur un jeune enfant ? Pourquoi lui ? La faute était-elle si grande pour asphyxier toute leur vie ?

L'auteur nous entraîne avec brio sur un sujet sensible l'amour des parents pour leur enfant et les liens fascinants et destructeurs qu'entretient une fratrie. Il maîtrise un suspense avec des dialogues rapides et incisifs tout en nous distillant une histoire aux accents tendres et poétiques.

Théâtre

Huis clos familial où quatre frères et sœurs se sont réunis dans le salon de leur maison natale. Ils doivent prendre la décision d'euthanasier un père qui souffre mais qui, malgré sa position d'agonisant, les divise et les détruit encore. Il repose à l'étage supérieur. La fratrie se revoit après plusieurs années. Doivent-ils pardonner la terrible tyrannie et punition qui a été infligée à l'un d'eux ? Ils vont refaire les chemins de l'enfance. N'étaient-ils pas tous responsables ? Quel est le drame atroce, pour lequel, un père et une mère se sont ainsi acharnés sur un jeune enfant ? Pourquoi lui ? La faute était-elle si grande pour asphyxier toute leur vie ?

L'auteur nous entraîne avec brio sur un sujet sensible l'amour des parents pour leur enfant et les liens fascinants et destructeurs qu'entretient une fratrie. Il maîtrise un suspense avec des dialogues rapides et incisifs tout en nous distillant une histoire aux accents tendres et poétiques.

Dans un endroit oublié du monde, au milieu de nulle part, une barricade se dresse. Voilà maintenant plusieurs années que cinq combattants y montent la garde. Dans cette prison sans mur, meublée d'angoisses et de mensonges, ils survivent ensemble. Une jeunesse brisée, rongée par l'absurdité de la guerre, tente de comprendre ce qui lui arrive et de redonner un sens à sa vie. Un désir trop fort qui va bouleverser, en une nuit, une attente devenue insupportable.

SENTINELLE

Théâtre

On se croirait chez Buzzati, celui du Désert des Tartares, ou dans la chanson de Jacques Brel, celle du « fort de Belonzio qui domine la plaine d’où l’ennemi viendra, qui me fera héros »…

Philippe Beheydt a une vision très mature de la nature humaine. Il traque nos bassesses, ôte les masques, fouille les recoins, débusque les planques de nos cœurs. Il gratte là où ça purule, et profite de cet espace théâtral qu’il a intelligemment construit, parole après parole, pour faire sortir le pus. Il décrit le monde tel qu’il hait, mais il met au jour nos beautés aussi. Pour les heures noires où on n’y croit plus. Le tout dans les feulements et les rugissements d’une langue rugueuse, jouissivement dramatique.

DE MÉMOIRE DE PAPILLON

Congo, 1961. Patrice Lumumba est face à son gardien quelques heures avant son exécution. Le climat est lourd et tendu entre les deux hommes...
Belgique, quelques décennies plus tard. Raymond, ancien colonial, est aux prises avec sa mémoire défaillante et surtout avec la nouvelle garde-malade qui vient de débarquer chez lui sur ordre du médecin.
Tous deux sentent que le temps joue contre eux. Ils entretiennent pourtant l'ultime espoir de trouver le fil qui les mènera à la vérité et à la liberté.
Rapidement, il apparaît évident que secret de famille et secret de l'histoire se recoupent dans les deux drames qui se jouent à huis-clos.

Suspens et humour permettent à cette pièce, tissée fort habilement en mêlant fiction et réalité, d'évoquer l'une des pages douloureuses de la décolonisation.

Théâtre

DE MÉMOIRE DE

PAPILLON

exils 1914

Exils 1914 mêle trois parcours emblématiques des souffrances qu'on guerre engendre.


August, petit bourgeois flamand, fuit la Belgique envahie avec sa femme et une statue de la Vierge pour se retrouver en Angleterre.
Victor Vay, jeune ouvrier, est déporté comme travailleur obligatoire dans une usine allemande.


Angolo, boy d'une famille belge au Congo, se retrouve dans les tranchées dans l'espoir d'être enfin considéré comme un vrai Belge.

Théâtre

je me suis fait beau

nouvelles

"Un univers contemporain, un ton apparemment « gentil », un climat ouaté. Mais toute la force du monde et les inquiétudes des personnages sont sous-jacentes. Ainsi, il est impossible de qualifier ce texte de « doux », pas plus qu’il n’est « dur » ou « glauque ». D’une écriture limpide, efficace, mais pas frénétique, ces nouvelles provoquent avant tout un véritable « agrément » de lecture, et en feront certainement un petit livre de choix pour l’été, mais elles sont pure littérature en ce qu’elles provoquent, après coup, questionnements et doutes chez le lecteur."   /  Places des libraires

je me suis

fait beau

l'aéroport

Théâtre

Un soir dans un aéroport de province, sans doute aux USA. Les conditions météo difficiles ont cloué les derniers avions au sol. La plupart des passagers ont quitté les lieux. Dans un petit espace à l'écart du hall principal, une femme tente de s'installer le plus confortablement possible pour passer la nuit. Un homme en costume froissé rejoint le même espace. Lui a envie de parler. Elle veut juste être tranquille. Cette promiscuité lui pèse, d'autant que l'homme se montre plutôt...envahissant. Peu à peu cependant, la joute verbale du début va faire place à une relation ambiguë, chacun révélant plus ou moins volontairement ses bleus au cœur et son manque d'amour. Et le marivaudage apparent prendra peu à peu l'allure d'un jeu de la vérité pas toujours à l'avantage des deux personnalités en présence. Une pièce aux allures de comédie mais qui emprunte rapidement des chemins de traverse.

Voici la plupart des livres de Philippe Beheydt qui ont été publiés mais certaines pièces courtes ont été publiées dans des recueils avec d'autres auteurs, comme Un cœur cassé aux Éditions de L'Amandier, Un vendredi après-midi comme les autres aux Édition de la Gare / Bocal agité, Bus 103, Richard, Salle d'attente aux Éditions Alna.